Une enquête nationale a été menée auprès des élus locaux pour connaître leur perception et attentes vis-à-vis des ARS. Zoom sur les résultats et les principaux enseignements à intégrer et le travail déjà engagé en Auvergne-Rhône-Alpes auprès des élus.
Le certificat de capacité à effectuer des prélèvements sanguins (CCEPS) s'adresse à des candidats titulaires d’un diplôme de techniciens de laboratoires. Pour la session d'épreuve de février 2025, les inscriptions sont ouvertes du 16 décembre 2024 au 24 janvier 2025.
Suite au passage du cyclone Chido, le système de santé à Mayotte est fortement impacté. Face à cette crise, l'ARS Auvergne-Rhône-Alpes relaie un appel aux professionnels de santé volontaires pour venir en renfort de la réserve sanitaire. Médecins, infirmiers et autres spécialistes sont recherch…
Alors que la période hivernale vient de débuter, l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes compte déjà 53 épisodes d’intoxication au monoxyde de carbone entre octobre et novembre 2024. Aussi, l’ARS tient à rappeler aux particuliers et aux gestionnaires d’établissement recevant du public les précautions à prendre p…
En France, la douleur chronique d’intensité modérée à sévère (pertinence clinique) touchent près de 12 millions de personnes adultes, auxquelles il faut ajouter les enfants. On ignore combien de ces personnes relèveraient d’une consultation en structure spécialisée d’évaluation et de traitement de la douleur chronique (SDC), mais on estime que 70 % de ces patients ne reçoivent pas un traitement approprié et que moins de 3 % en bénéficient, sachant que le délai moyen pour une première consultation en SDC est de plus de 8 mois. La douleur chronique est une douleur qui persiste ou se reproduit pendant plus de 3 mois. L’objectif de sa prise en charge est rarement la résolution de la douleur, mais le plus souvent réadaptatif avec une réduction de la douleur à un niveau acceptable pour la personne, un maintien de ses activités du quotidien , professionnelle ou scolaire et une amélioration de sa qualité de vie. L’évaluation et la prise en charge d’une personne souffrant de douleur chronique relève du modèle biopsychosociale et nécessite la plupart du temps un exercice coordonné en équipe pluriprofessionnelle et multidisciplinaire. Le parcours de santé d’une personne présentant une douleur chronique de la HAS propose de mobiliser l’ensemble des acteurs en ville et à l’hôpital, chacun dans leur mission, selon leur compétence et responsabilité, afin d’être en mesure de proposer une évaluation et une prise en charge de qualité sur l’ensemble du territoire dans des délais médicalement et éthiquement raisonnables selon les critères internationaux. Ce parcours, centré sur les besoins de la personne, s’appuie sur les 250 SDC existantes en France, sur le développement des organisations d’exercice de soins coordonné en ville et sur les services hospitaliers de spécialité. Il propose la création d’une interface, ensemble de services de soutien (hotline, télémédecine, formations des professionnels et outils de coordination) de la SDC de proximité à destination des médecins traitants du territoire, et plus largement aux équipes de soins primaires et aux professionnels de second recours, afin qu’ils soient en mesure de prendre en charge l’essentiel des personnes souffrant d’une douleur chronique, ou d’assurer et de coordonner l’essentiel de leur parcours de santé. Ce parcours rappelle aussi l’importance de la prévention, prévention des douleurs aiguës évitables et prévention de la chronicisation des douleurs persistantes par une prise en charge dans des délais médicalement raisonnables, afin de réduire l’incidence et la prévalence des personnes présentant une douleur chronique.
Technique d’amplification des acides nucléiques, TAAN, panel multiplex, panel quadriplex, pneumonie aiguë communautaire, bronchite aiguë, exacerbations aiguës de BPCO, bronchiolite aiguë du nourrisson
Recueillir la satisfaction, l'expérience ou les résultats rapportés par les personnes accompagnées, les patients ou leurs proches sont essentiels pour améliorer la qualité des soins et des accompagnements sociaux. Mais recueillir ne suffit pas, les analyser et mettre en place des plans d'actions à partir du recueil de leurs expressions avec les représentants d'usagers, les élus des conseils de la vie sociale ou les patients partenaires au sein des établissements c'est mieux ! Car la perspective d’amélioration de la qualité des soins et des accompagnements doit aussi être conduite en vue du renforcement du pouvoir d’agir, individuel et collectif, des usagers. La mise à disposition d'un outil d'analyse automatique du langage des témoignages reçus via e-Satis vous permet d'identifier plus rapidement les points forts et les points d'amélioration pour avancer en partenariat avec les usagers.
La HAS développe un indicateur de qualité et de sécurité des soins perçues par les patients, pris en charge dans une structure des urgences. Un appel à candidatures est lancé jusqu'au 13 février 2025.